L’auteur est avocat et s’est engagé en faveur du vin « rebelle ». Le combat est souvent juridique parce que la législation autour du vin naturel est floue, complexe et extrêmement restrictive ; les mentions « nature » et « naturel » sont toujours interdites. Rappelons qu’un vin naturel, selon l’AVN, est un vin issu de vignobles cultivés en bio ou en biodynamie. Les vendanges sont obligatoirement manuelles. Seules les levures indigènes sont autorisées pour la vinification : une méthode de vinification ancestrale dont les traces remontent à plus de 8000 ans aux confins de la Georgie et de la Grèce. Mais, plutôt que de dresser un constat de l’imbroglio qui conduit les hautes instances vinicoles à rejeter et parfois attaquer ceux qui produisent ces vins, en grande partie sous la pression de vignerons conventionnels qui estiment que l’appellation « naturel » sous-entend que les autres ne le sont pas, ici, on raconte l’histoire de 5 vignerons « qui travaillent les pieds dans la terre, les mains dans la vigne et se sentent comme des chiens dans un jeu de quille ». Essai, Eric Morain, 110 p, 2019
Bonne lecture,
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