Avec Télérama, en écologie cette semaine, on ne se la raconte encore moins…
-
- mardi 30 juin, sur France 2 à 22h50. Les Damnés, des ouvriers, en abattoir. Oubliés, méprisés, stigmatisés, haïs voire perçus comme des monstres, l’opinion publique ne préjuge-t-elle pas de ce que vivent réellement et au quotidien les hommes et femmes qui travaillent dans les abattoirs ? Être ouvrier des abattoirs est rarement un choix, rien n’y prépare. Peut-on imaginer ce que représente une journée sur une chaine ? Ouvriers toujours en poste et ex-salariés témoignent de leurs parcours, de ce que signifie « tenir » ou « s’habituer », et racontent combien ce lieu est « un monde à part », qui cabosse le corps et l’âme.
- mardi 30 juin, sur France 2 à 22h50. Les Damnés, des ouvriers, en abattoir. Oubliés, méprisés, stigmatisés, haïs voire perçus comme des monstres, l’opinion publique ne préjuge-t-elle pas de ce que vivent réellement et au quotidien les hommes et femmes qui travaillent dans les abattoirs ? Être ouvrier des abattoirs est rarement un choix, rien n’y prépare. Peut-on imaginer ce que représente une journée sur une chaine ? Ouvriers toujours en poste et ex-salariés témoignent de leurs parcours, de ce que signifie « tenir » ou « s’habituer », et racontent combien ce lieu est « un monde à part », qui cabosse le corps et l’âme.
L’alimentation, c’est un marché
-
- mardi 30 juin, sur France 2 à 00h00. Nourrir les hommes. Émilie est ouvrière à la chaîne dans une usine de surgelés. David est directeur marketing chez le numéro un français du jambon. Benjamin est éleveur de poules en cage. Romain est tueur dans un abattoir. 500 000 personnes, en France, travaillent chaque jour à nous nourrir. Petites mains ou grands patrons, ces professionnels de l’alimentation se savent impopulaires. Vache folle, œufs contaminés, lait aux salmonelles : les scandales se sont succédé et la confiance s’est effritée.Comment ces professionnels ont-ils vécu les scandales dont ils ont été les témoins souvent impuissants ? Comment réagissent-ils aux injonctions parfois contradictoires que nous, consommateurs, leur envoyons ? Comment faire pour produire mieux, s’il faut toujours produire plus et moins cher ?
- mardi 30 juin, sur France 2 à 00h00. Nourrir les hommes. Émilie est ouvrière à la chaîne dans une usine de surgelés. David est directeur marketing chez le numéro un français du jambon. Benjamin est éleveur de poules en cage. Romain est tueur dans un abattoir. 500 000 personnes, en France, travaillent chaque jour à nous nourrir. Petites mains ou grands patrons, ces professionnels de l’alimentation se savent impopulaires. Vache folle, œufs contaminés, lait aux salmonelles : les scandales se sont succédé et la confiance s’est effritée.Comment ces professionnels ont-ils vécu les scandales dont ils ont été les témoins souvent impuissants ? Comment réagissent-ils aux injonctions parfois contradictoires que nous, consommateurs, leur envoyons ? Comment faire pour produire mieux, s’il faut toujours produire plus et moins cher ?
-
- jeudi 2 juillet sur LCP-Assemblée nationale à 20h30. Main basse sur l’eau. C‘est le prochain casino mondial. Les géants de la finance se battent déjà pour s’emparer de l’« or bleu ». L’enquête sur la prochaine bulle spéculative et glaçante. Réchauffement climatique, pollution, pression démographique, extension des surfaces agricoles : partout dans le monde, la demande en eau explose et l’offre se raréfie. En 2050, une personne sur quatre vivra dans un pays affecté par des pénuries. Après l’or et le pétrole, l’ »or bleu », ressource la plus convoitée de la planète, attise les appétits des géants de la finance, qui parient sur sa valeur en hausse, source de profits mirobolants. Aujourd’hui, des banques et fonds de placements – Goldman Sachs, HSBC, UBS, Allianz, la Deutsche Bank ou la BNP – s’emploient à créer des marchés porteurs dans ce secteur et à spéculer, avec, étrangement, l’appui d’ONG écologistes. Lesquelles achètent de l’eau « pour la restituer à la nature », voyant dans ce nouvel ordre libéral un moyen de protéger l’environnement. En Australie, continent le plus chaud de la planète, cette marchandisation de l’eau a pourtant déjà acculé des fermiers à la faillite, au profit de l’agriculture industrielle, et la Californie imite ce modèle. Face à cette redoutable offensive, amorcée en Grande-Bretagne dès Thatcher, la résistance citoyenne s’organise pour défendre le droit à l’eau pour tous et sanctuariser cette ressource vitale limitée, dont dépendront 10 milliards d’habitants sur Terre à l’horizon 2050.
- jeudi 2 juillet sur LCP-Assemblée nationale à 20h30. Main basse sur l’eau. C‘est le prochain casino mondial. Les géants de la finance se battent déjà pour s’emparer de l’« or bleu ». L’enquête sur la prochaine bulle spéculative et glaçante. Réchauffement climatique, pollution, pression démographique, extension des surfaces agricoles : partout dans le monde, la demande en eau explose et l’offre se raréfie. En 2050, une personne sur quatre vivra dans un pays affecté par des pénuries. Après l’or et le pétrole, l’ »or bleu », ressource la plus convoitée de la planète, attise les appétits des géants de la finance, qui parient sur sa valeur en hausse, source de profits mirobolants. Aujourd’hui, des banques et fonds de placements – Goldman Sachs, HSBC, UBS, Allianz, la Deutsche Bank ou la BNP – s’emploient à créer des marchés porteurs dans ce secteur et à spéculer, avec, étrangement, l’appui d’ONG écologistes. Lesquelles achètent de l’eau « pour la restituer à la nature », voyant dans ce nouvel ordre libéral un moyen de protéger l’environnement. En Australie, continent le plus chaud de la planète, cette marchandisation de l’eau a pourtant déjà acculé des fermiers à la faillite, au profit de l’agriculture industrielle, et la Californie imite ce modèle. Face à cette redoutable offensive, amorcée en Grande-Bretagne dès Thatcher, la résistance citoyenne s’organise pour défendre le droit à l’eau pour tous et sanctuariser cette ressource vitale limitée, dont dépendront 10 milliards d’habitants sur Terre à l’horizon 2050.
Bonne semaine de TV et d’ailleurs,
Anne