Colibri, et après ?
« Nous mettons la barre haute. Notre conscience écologique s’est aiguisée. Nous voyons plus loin que le déchet généré, que la poubelle à vider ou non. Nous tentons de réfléchir à une empreinte carbone générée par notre confort de vie sur l’écosystème. Nous partons à la rencontre de notre impact immatériel et nos efforts sont d’autant plus difficiles à mesurer, à partager. Nous aimons chercher, creuser mais ce n’est pas sans conséquence.
Certaines conversations cheminent dans nos esprits et nous mènent parfois à quelques tachycardies, angoisses et insomnies. C’est une nouvelle prise de conscience moins bling bling, plus poussée, qui éblouit et fait moins rêver. Mais par expérience, nous savons que derrière chaque découverte, nous grandirons.» Sur les conseils avisés et partageux de Doria : essai, Marie Petit, 216 p., 2021.
Bonne lecture !