Avec Télérama, on a raison de s’intéresser à l’écologie :
Aujourd’hui
- du lundi au vendredi, sur France 5 à 11h45 et 13h – La quotidienne, la suite. Le magazine sur la consommation responsable et solidaire. Le menu de la semaine n’est pas communiqué. L’un d’entre-vous a-t-il pu déjà voir l’émission ? L’horaire est très peu pratique mais elle a l’air bien faite…
Comme on a raison de préserver l’écosystème
- dimanche 2 avril sur Ushuaïa TV à 20h40- Sur les routes de la science. A la recherche d’un antivenin universel. C’est au Costa Rica qui concentre 6% de la biodiversité mondiale qu’on étudie dans leur habitat les espèces de serpents et d’insectes très venimeuses. On suit le guide !
Les hommes, la planète et l’OMS
- mardi 4 avril sur Arte à 20h50 – L’OMS : dans les griffes des lobbyistes. On observe là comment l’OMS a géré les quelques crises les plus graves de ces trente dernières années : épandage de glyphosate en Amérique latine, l’épidémie du virus H1N1, les ravages d’Ebola ; on voit vite et bien que l’organisation est liée aux dons des des Etats et des firmes privées. Comment imaginer qu’elle peut assurer la protection de l’environnement et la sécurité sanitaire mondiale quand ses principaux donateurs sont les compagnies pétrolières et les géants des pesticides ? le mode de financement est repenser.
Atomique- jeudi 6 avril sur Planète + à 20h55 – Sous le nuage d’Hiroshima. Du 6 août 1945, il nous reste 5 clichés pris quelques heures après l’explosion de la bombe pour enregistrer l’horreur ! C’est tout. Et les témoignages de survivants d’abord condamnés au silence qui sont devenus aujourd’hui des symboles de paix. Des reconstitutions en 3D permettent de se faire une image de la catastrophe.
Anne
- jeudi 6 avril sur Planète + à 20h55 – Sous le nuage d’Hiroshima. Du 6 août 1945, il nous reste 5 clichés pris quelques heures après l’explosion de la bombe pour enregistrer l’horreur ! C’est tout. Et les témoignages de survivants d’abord condamnés au silence qui sont devenus aujourd’hui des symboles de paix. Des reconstitutions en 3D permettent de se faire une image de la catastrophe.
- mardi 4 avril sur Arte à 20h50 – L’OMS : dans les griffes des lobbyistes. On observe là comment l’OMS a géré les quelques crises les plus graves de ces trente dernières années : épandage de glyphosate en Amérique latine, l’épidémie du virus H1N1, les ravages d’Ebola ; on voit vite et bien que l’organisation est liée aux dons des des Etats et des firmes privées. Comment imaginer qu’elle peut assurer la protection de l’environnement et la sécurité sanitaire mondiale quand ses principaux donateurs sont les compagnies pétrolières et les géants des pesticides ? le mode de financement est repenser.